lundi 26 mars 2007

Les Passantes

Cela se passait en 1979. Pendant l'emission "Le grand échiquier", consacré à Lino Ventura (un monstre sacré, lui aussi), Georges Brassens (au seuil de la mort) et Maxime Le Forestier se voyaient sommés par le Tonton Flingueur de chanter l'une de ses chansons préférées : "Les Passantes".
Que dire, face à ce grand moment télévisuel et musical ? Imagine-t-on aujourd'hui un pareil moment lors d'une emission ? Surement pas, non.
Voici donc une vidéo qui me fait frissonner à chaque fois que je la regarde. (Maintenant, j'arrête de poster des vidéos pour un moment, promis) J'en profite pour passer le bonjour à toutes les passantes que j'ai un jour fixées, et que je n'ai jamais revues.
Un conseil : Fermez les yeux et écoutez.
[Un mot sur l'auteur de ce poème chanté par Brassens : Georges Brassens a découvert ce poème (écrit en 1914) par hasard, dans un marché au puce. Admiratif, il a demandé à l'auteur, Antoine Pol, jusque là inconnu, l'autorisation de le mettre en musique, et de le rencontrer. Antoine Pol est mort de vieillesse une semaine avant leur rencontre. L'un des grands regrets de Brassens, fut de ne jamais avoir connu cet homme.]

La beauté de la musique



- Hé regardez qui est là ! Maestro ! Hé, tu pouvais pas nous mettre un truc mieux ? Comme Hank Williams ?
- Ils ont défoncé la porte avant que je puisse demander ce que vous vouliez.
- Ca valait deux semaines au trou ?
- Les meilleures depuis que je suis là.
- Tu parles d'une connerie. Y a rien de pire que deux semaines au trou. Une semaine au trou, c'est comme une année.
- J'avais Mozart pour me tenir compagnie.
- Quoi, ils t'ont laissé emporter le tourne-disque au trou ?
- Il était dans ma tête, et dans mon coeur. C'est ça, la beauté de la musique. On ne peut pas te l'enlever. Vous n'avez jamais ressenti ça avec la musique ?
- Bah, je me débrouillais pas mal à l'harmonica. J'ai plus continué ici. Ici, ça n'a plus aucun sens.
- C'est ici que ça a le plus de sens. On en a besoin pour ne pas oublier.
- Oublier ?
- Ne pas oublier que... Qu'il y a des endroits, dans le Monde, qui ne sont pas fait de murs de pierre. Qu'il y a quelque chose, en nous, qu'ils ne peuvent atteindre, qu'ils ne peuvent toucher.
- Mais de quoi tu parles ?
- L'espoir.

Andy Dufresne (Tim Robbins),
Dans Les Evadés.
[Film de Frank Darabond/ Roman de Stephen King.]

Le vent se lève

Irlande, 1920... A travers le pays, des paysans volontaires s'unissent pour s'engager dans la lutte armée contre les redoutables Black-and-Tan. Ces troupes sont envoyées d'Angleterre par bateaux entiers pour mettre un point final aux velléités d'indépendance.Son sens du devoir et l'amour pour son pays poussent Damien à laisser tomber sa jeune carrière de médecin. Avec son frère Teddy, il se lance dans la sanglante bataille pour la liberté.Les méthodes intrépides des insoumis poussent vite les Britanniques à bout. Les deux parties aboutissent à un traité qui doit mettre fin aux effusions de sang.Mais la victoire n'est qu'apparente, et c'est une guerre civile qui éclate. Des familles qui combattaient jusque-là côte à côte se retrouvent opposées. Des frères deviennent ennemis jurés, écartelés par les visages de la loyauté.

Un très bon film, qui méritait bien la palme d'or au Festival de Cannes. Un film qui célèbre la liberté, et qui expose assez bien l'histoire complexe de la révolution irlandaise, ainsi que ses répercussions, et ses conséquences que l'on peut voir encore de nos jours en Irlande.

samedi 24 mars 2007

Dépêche toi de vivre...



- Ma femme disait que j'étais un homme difficile à connaitre. Comme un livre fermé. Elle s'en plaignait tout le temps. Qu'elle était belle... Et que je l'aimais... Je n'ai pas su lui montrer, voilà. C'est moi qui l'ai tué, Red. Je n'ai pas appuyé sur la détente. Mais je l'ai faite partir. C'est à cause de moi qu'elle est morte. A cause de ma façon d'être.
- Ca ne fait pas de toi un assassin. Mauvais mari, c'est possible. Tu peux regretter si tu veux, mais c'est pas toi qui a tiré.
- Non, c'est pas moi. C'est bien quelqu'un d'autre. Et c'est moi qui me retrouve ici. La malchance...
- Oui.
- C'est partout dans l'air... Il faut que ça atterrisse sur quelqu'un. C'était mon tour. J'étais sur le chemin de la tornade ! Je ne m'attendais pas à ce que la tempête dure aussi longtemps que ça... Tu crois que tu va sortir un jour ?
- Moi ?... Oui. Le jour où j'aurais une longue barbe blanche, ou trois cases de vide dans le placard à ménage, ils me feront sortir.
- Je vais te dire où j'irais. Zihuatanejo.
- Zihua quoi ?
- Zihuatanejo. C'est au Mexique. Une petite ville sur l'océan pacifique. Tu sais ce que les mexicains disent du pacifique ?
- Non.
- Ils disent qu'il n'a pas de mémoire. C'est là que je veux vivre le restant de mes jours. Un endroit chaud, sans mémoire. J'ouvre un petit hôtel, juste sur la plage, je me paie un vieux bateau, je le repeins, j'emmène mes clients à la pêche au gros.
- Zihuatanejo.
- J'aurais besoin dans un endroit de ce genre d'un type qui sait dégotter certaines choses.
- Je crois que je suis incapable de faire ça dehors. J'ai passé ici la plus grande partie de ma vie... Je suis un institutionnel, maintenant. Comme l'était Brooks.
- Non, tu te sous-estime à mon avis.
- Je ne le crois pas. Enfin je veux dire, ici c'est vrai que je suis le gars qui dégotte certaines choses, mais dehors, il suffit de l'annuaire ou des pages jaunes. Je saurai même pas ou chercher, p*tain ! L'océan pacifique... Merde, moi j'aurais une peur bleue dans un truc aussi grand.
- Pas moi. Je n'ai pas tué ma femme, je n'ai pas tué son amant. Quelques soient mes fautes, j'ai payé plus que je n'aurais du. Cet hotel, ce bateau, je ne crois pas que ce soit trop demander.
- Je trouve que tu ne devrais pas te faire ce genre d'illusion. Tu te fais du mal avec ces rêves de merde ! Enfin, le Mexique est là, et toi tu es ici, tu comprend, les choses sont comme ça.
- Oui, c'est vrai. Les choses sont comme ça. C'est loin d'ici et je suis là dedans. Je crois que tout se résume à un simple choix en réalité :
"Dépeche toi de vivre ou dépeche toi de mourir".


Andy Dufresne (Tim Robbins) & Red (Morgan Freeman),
Dans Les Evadés.
[Film de Frank Darabond/ Roman de Stephen King.]

vendredi 23 mars 2007

It's a long road



"Quand je n'ai plus rien eu à perdre, j'ai tout reçu. Quand j'ai cessé d'être celui que j'étais, je me suis trouvé. Quand j'ai connu l'humiliation et que j'ai pourtant continué ma route, j'ai compris que j'étais libre de choisir ma destination."

Paulo Coelho
Le Zahir

mercredi 21 mars 2007

La Môme

Il y a des films comme ça qui vous inondent le coeur et l'âme. Des films où l'acteur/actrice se transcende, est méconnaissable, et joue son plus grand rôle. Des films dont on parlera encore dans dix, vingt, cinquante ans. Des films qui touchent à un tel point qu'en sortant de la salle, on ressent encore cette tristesse, ou cette joie de vivre que le film nous a transmis. Il y a des films comme ça que l'on appelle "chef d'oeuvre".
La Môme est l'un de ces films. Marion Cotillard est l'une de ces actrices. Et Edith Piaf est son rôle. Je pensais avoir vu la meilleure biographie de chanteur qui soit avec Walk The Line, mais ce film a fait encore mieux (je salue la façon de raconter l'histoire, faite de flash backs intermelés et non d'une histoire chronologique). Du grand art. Une prestation de Marion Cotillard époustouflante. Elle est Edith Piaf, du début à la fin.
Un film émouvant, triste et beau, que l'on aimerait ne voir jamais finir. Un drame que nous raconte ce film, que toute les histoires imaginées du monde n'égaleront jamais car c'est le drame de la vie. Magnifique. Je ne regrette rien, moi non plus.

dimanche 18 mars 2007

Croire à l'impossible

« William Blake dit dans l’un de ses textes : « Tout ce qui aujourd’hui est une réalité faisait auparavant partie d’un rêve impossible. » C’est ainsi qu’aujourd’hui nous avons l’avion, les vols spatiaux, l’ordinateur sur lequel en ce moment j’écris cette colonne, etc.
Dans le célèbre chef-d'oeuvre De l'autre côté du miroir de Lewis Carroll, il y a un dialogue entre le personnage principal et la reine, qui vient de raconter quelque chose d'extraordinaire. « Je ne peux pas croire, dit Alice. – Tu ne peux pas ? répète la reine d’un air triste. Essaie de nouveau : respire profondément, ferme les yeux, et crois. » Alice rit. « Ça ne sert à rien d’essayer. Seuls les idiots pensent que les choses impossibles peuvent arriver. – Je pense que ce qui te manque, c’est un peu de pratique, répond la reine. Quand j’avais ton âge, je m’entraînais au moins une demi-heure par jour, juste après le petit déjeuner, je faisais mon possible pour imaginer cinq ou six choses incroyables qui pourraient croiser mon chemin, et aujourd’hui je vois que la plupart des choses que j’ai imaginées sont devenues réalité, je suis même devenue reine à cause de cela. » La vie nous commande constamment : « Crois ! ».
Il est nécessaire pour notre bonheur de croire qu’un miracle peut arriver à tout moment, mais aussi pour notre protection, ou pour justifier notre existence. Dans le monde actuel, beaucoup de gens jugent impossible d’en finir avec la misère, d’avoir une société juste, de diminuer les tensions religieuses qui semblent croître chaque jour.
La plupart des gens renoncent à se battre sous les prétextes les plus divers : conformisme, maturité, crainte du ridicule, sensation d’impuissance. Nous voyons l’injustice faite à notre prochain et nous nous taisons. « Cela ne me regarde pas », voilà l’explication. C’est une attitude lâche. Celui qui parcourt un chemin spirituel porte avec lui un code d’honneur qu’il doit respecter ; la voix qui s’élève contre ce qui n’est pas correct est toujours entendue par Dieu. Et pourtant, il nous arrive parfois d’entendre cette réflexion : « Je passe mon temps à croire à des rêves, très souvent je cherche à combattre l’injustice, mais je finis toujours par être déçu. » Un guerrier de la lumière sait que certaines batailles impossibles méritent d’être menées, c’est pourquoi il n’a pas peur des déceptions puisqu’il connaît le pouvoir de son épée et la force de son amour. Il rejette avec véhémence ceux qui sont incapables de prendre des décisions et cherchent toujours à faire porter aux autres la responsabilité de tous les malheurs du monde. S’il ne lutte pas contre ce qui n’est pas correct – même si cela semble au-dessus de ses forces –, il ne trouvera jamais le bon chemin.
Arash Hejasi, mon éditeur iranien, m’a envoyé un jour le texte que voici : « Aujourd’hui, une forte pluie m’a pris au dépourvu pendant que je marchais dans la rue… Grâce à Dieu, j’avais mon parapluie et mon manteau, mais ils étaient tous les deux dans le coffre de ma voiture, garée très loin. Pendant que je courais pour aller les chercher, je pensais que j’étais en train de recevoir un étrange signe de Dieu – nous avons toujours les ressources nécessaires pour affronter les tempêtes que la vie nous prépare, mais la plupart du temps ces ressources sont rangées au fond de notre cœur et les chercher nous fait perdre un temps énorme ; quand nous les trouvons, nous avons déjà été vaincus par l’adversité. »
Soyons donc toujours préparés ; sinon nous perdrons notre chance, ou bien nous perdrons la bataille. »


Paulo Coelho
Comme le fleuve qui coule

mercredi 14 mars 2007

Un week end qui fait du bien

Petites photos souvenir prises Samedi & Dimanche, à Paris et à Disneyland. Un super week end, passé en compagnie d'une bande de cinglés ^^ Je me souviendrais toujours de ce film qui nous a coûté 9,90 euros (forcément, on avait été au Gaumont des Champs Elysées... Mais quand même !), et de cette nuit dans l'appartement de Vanessa, où il y avait des problèmes de chauffage ^^
Et je me souviendrais aussi de ces deux longues journées où nous n'aurons cessé de marcher, de l'aéroport jusqu'au métro, des Tuileries jusqu'à l'Arc de Triomphe, et de Main Street aux Pirates des Caraïbes :)
Je me souviendrais enfin des rencontres que j'ai faites. Je connaissais déja Lili, Vanessa et Nanou, mais j'ai rencontré de nouvelles têtes. Nadira (le gentil pirate), Laurie et Yoan sont des personnes très sympathiques, avec qui je me suis bien amusé. Merci pour tout, j'espère qu'on remettra ça !
A côté de tout ça, il y a eu la courte apparition de Jivan à l'aéroport, et le parc en lui même, où il y avait énormément de monde (à force on avait envie de faire un Columbine >>), mais où la féérie et la magie de l'enfance était au rendez vous. Et que dire du nouveau parc et du spectacle de voitures de cascades de films, qui m'a complétement bluffé. En résumé, un très bon week end. Dommage qu'il y ait toujours une fin, et que le lendemain, il y avait les cours... Vivement les prochaines vacances !

mardi 13 mars 2007

Espoir, éternel printemps

Ce que je vais dire ne sera peut être pas très joyeux, mais mes pensées sont volatiles en ce moment. Plus le temps passe, plus je suis fatigué, plus j'ai besoin de partir en voyage. J'ai l'impression de ne plus rien contrôler, d'être le spectateur de ma vie... Pour le moment.
Etrangement, ma vie change avec les saisons. J'ai remarqué que l'automne et l'hiver étaient de "mauvaises périodes" pour moi. Alors que le printemps et l'été étaient une renaissance, avec à chaque fois la même joie de vivre qui revenait m'habiter, et cet optimisme (qui ne me quitte jamais) qui éclatait à nouveau.
Cela va paraître idiot, mais je vais souvent bien mieux au printemps (et en été). Je me sens souvent seul en hiver, et lorsque le soleil revient, tout renaît. Le printemps revient. Je le sens dans l'air. Le ciel est bleu, le soleil brille fort, même s'il ne chauffe pas encore assez pour me permettre de quitter ce fichu manteau. Les oiseaux, je commence à en entendre quelques uns le matin, et rien que ça, c'est déja suffisant pour me redonner le moral. Les gens sont plus souriants, aussi. Le printemps, c'est la renaissance. Alors, je n'attend plus qu'une chose, maintenant : Que le soleil revienne pour de bon, que je puisse me balader dans la rue ou dans la nature en t-shirt, le soleil lêchant ma peau, brûlant mon visage, et sentir ce parfum que seul le printemps emmène avec lui. Un parfum doux, chaud, qui ressemble à l'espoir. Vivement la renaissance !

lundi 12 mars 2007

Ironheart

Qui suis je ? Vous vous demandez sûrement, si jamais vous avez eu le courage de lire mon premier message et qu'il vous a plu, qui je suis. Je ne vais pas commencer à lister mes qualités, mes défauts, à vous expliquer quelles sont les musiques et les films que j'aime, mais je vais juste vous dresser un tableau rapide de moi-même : 21 ans (bientôt 22), j'habite dans le Nord de la France, et j'étudie à Lille. J'aimerai devenir journaliste, un jour, et comme l'une de mes passions est le cinéma, pourquoi pas critique de cinéma.
Pourquoi mon blog s'appelle-t-il "Ironheart" ? Parce qu'un jour, j'ai eu le coeur brisé, et que j'ai ouvert un livre de Dean Koontz (qui s'appellait "Fièvre de Glace") où le héros s'appellait Jim Ironheart. Je trouvais que ce personnage me ressemblait, et que ce nom, Ironheart, correspondait totalement à l'état dans lequel j'étais à l'époque. De l'eau à coulé sous les ponts, depuis, puisque c'était il y a 2 ans. Mais j'ai gardé ce pseudo, même si je suis loin d'être un "Iron"heart ^^
Bon, j'ai quand même envie de vous parler d'une de mes passions : Comme je l'ai dit plus haut, j'aime le Cinéma. Je n'ai plus trop le temps d'y aller comme autrefois, mais l'année dernière et les années précédentes, j'allais au cinéma une fois par semaine environ. Le cinéma permet de s'évader, loin de son existence, et permet d'oublier les soucis, de rester optimiste ; Et Dieu sait que je suis optimiste dans la vie. :-)
Dernièrement, je suis allé voir "La Môme", relatant la vie d'Edith Piaf. Coup de foudre total. Un grand film, et une grande actrice. Je le conseille vivement à qui ne l'a pas encore vu, ou à qui hésite encore. C'est l'un des films qui me donne espoir, même s'il est très triste. Je pourrais citer des tas d'autres films donnant espoir, mais je n'en citerais qu'un seul autre : "Les évadés", avec Tim Robbins et Morgan Freeman. C'est l'adaptation d'une nouvelle de Stephen King (l'un de mes auteurs de littérature préféré, soit dit en passant ^^), qui donne énormément espoir. La phrase culte de ce film est : "Tout se résume à un simple choix : 'Dépêche toi de vivre, ou dépêche toi de mourir'". Il faut voir cette phrase comme une invitation à profiter de la vie quand il est encore temps, et de ne jamais remettre à demain ce que l'on peut faire le jour même. Carpe Diem, en quelque sorte. C'est ma philosophie, dans la vie.

Un blog, pour quoi faire ?

Longtemps, j'ai parcouru les "blogs" sur internet, les espaces de discussion des internautes racontant leur vie, leurs états d'ames ou leurs problèmes. Ces blogs étaient tantôt beaux, tantôt enjoués, ou tantôt tristes. Après tout, dans une vie, on ne reste jamais dans le même sentiment plus de quelques heures. Quand on est heureux, on le reste rarement toute la semaine. Les sentiments et les états d'âme bougent et changent sans cesse. Les miens n'échappent pas à la règle. Je suis parfois content, parfois triste... Et des fois, je ne saurais même pas en donner la raison. Ici, je raconterai ces états d'âme, et peut être que je pourrais ainsi mieux les comprendre. Il n'y aura pas que cela, bien sûr. Je parlerais aussi d'actualité, de pensées qui me traversent, de philosophie, de la vie.

Ce "blog" se perdra parmi les millions d'autres blogs existant. Il l'est même déjà.

A bientôt ! ^^